Toute personne ayant un rapport quelconque, familial ou professionnel, avec le milieu de la mine sait ce qu’est la salle des pendus où les mineurs suspendaient leur tenue de travail sale, humide ou poussiéreuse après leur huit heures de labeur.
Et pour l’anecdote particulière à Fuveau, voici de quoi il en retourne.
Bien qu’il n’y ait plus d’extraction de charbon chez nous depuis plus d’un siècle… nous avons toujours notre salle des pendus !
Pour y accéder, il faut soit faire partie des initiés, soit en faire la demande auprès du Cercle Saint-Michel.
Le nom a été donné à l’époque, par dérision ou amusement, par les membres du Cercle à deux superbes salles voutées souterraines qui étaient à l’origine les garde-mangers du château de Fuveau, plus tard pièces fraîches pour un boucher qui avait acheté le bâtiment après la révolution et maintenant, entrepôt de décors de la salle de théâtre. On y accède par une trentaine d’escaliers d’époque fort bien entretenus.
Nous y avons connu des enterrements de vie de garçon et autre fête un peu secrète de ce type. On descendait parfois « au pendu » pour le seul plaisir du mystérieux et de l’occulte.
Un impressionnant et solide crochet y subsiste à l’intersection de deux voutes d’arêtes.
Et pour l’anecdote particulière à Fuveau, voici de quoi il en retourne.
Bien qu’il n’y ait plus d’extraction de charbon chez nous depuis plus d’un siècle… nous avons toujours notre salle des pendus !
Pour y accéder, il faut soit faire partie des initiés, soit en faire la demande auprès du Cercle Saint-Michel.
Le nom a été donné à l’époque, par dérision ou amusement, par les membres du Cercle à deux superbes salles voutées souterraines qui étaient à l’origine les garde-mangers du château de Fuveau, plus tard pièces fraîches pour un boucher qui avait acheté le bâtiment après la révolution et maintenant, entrepôt de décors de la salle de théâtre. On y accède par une trentaine d’escaliers d’époque fort bien entretenus.
Nous y avons connu des enterrements de vie de garçon et autre fête un peu secrète de ce type. On descendait parfois « au pendu » pour le seul plaisir du mystérieux et de l’occulte.
Un impressionnant et solide crochet y subsiste à l’intersection de deux voutes d’arêtes.





Des escaliers descendant assez profondément dans les « entrailles de la terre ».
Pour accéder à ce site, contacter le Cercle Saint-Michel
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